La Perdrix
La
Une Pedrix s’envola. Je tirai.
C’était mon premier coup de fusil il me s’embla qu’elle allait tomber dans la
direction d’un petit bonhomme qui glanait. Je n’avais pas mon chien Ptichard.
Pour lui crier : « apporte . Je
résolus donc d’aller jusqu’ au bout du vol de ma Pedrix et de l’apporter
moi-même. J’allais jusqu’ au petit glaneur.
-
Eh,
bonhomme, n’as-tu pas vu une Pedrix ?
-
Une
Pedrix ?
-
Oui
une Pedrix blessée.
-
Blessée ?
…
-
Voyons,
ne fais pas l’idiot… quand j’ai tiré, n’as-tu pas vu tomber une Perdrix ?
-Oh ! Je
n’ai rien vu tomber. Je jetais un regard de travers sur le bonhomme et me mis à
chercher ma Pedrix… tous à coup, j’aperçus Ptichard près du petit glaneur, qui
s’était assis et mangeaient. Il avait l’air de vouloir lui chiper son déjeuner.
- Ah ! Fis-je,
voilà le plus beau de tous.
-Arrête c’est
moi le plus beau.
Et je les voyais
se disputer puis je les Arrêtais par force puis me disais la force ne serre a
rien c’est l’intelligence qui sert après je suis arrivé à les convaincre puis j’ai
dit :
Vous avez tous
les deux la même beauté puis ils se réconcilièrent ensembles.
Ensembles plus fort !
L’union fait la force
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